On ne s’en souvient pas souvent mais avant l’avalanche des super héros il fallait bien un film déclencheur. Ils ont été deux: Blade en 1997 et X-Men en 2000. Le premier hiberne depuis son troisième et très mauvais épisode, le second existe encore et s’apprête à sortir son septième opus hors spin-off.
Les X-Men ont toujours été appréciés de la critique et du public, presque toujours.
Après un première trilogie réussi, les producteur ont, à la manière de Star Wars, raconté les débuts de la bande avec le génial First Class. Une suite baptisé Days Of Futur Past a mélangé les deux générations de comédiens grâce à un scénario astucieux jouant sur les temporalités.
S’en est suivi le très mauvais Apocalypse où la majorité des critiques et des spectateurs ont cru que les mutants avaient tiré leur révérence.
Mais comme Hollywood a plus d’un tour dans sa manche, on a rappelé la nouvelle génération pour un nouvel opus: Dark Phœnix.
Problème de production, sortie décalée, rumeurs catastrophiques, reshoots commandée, rarement un blockbuster de ce calibre n’a été aussi malmené.
Après quelques photos officielles datant de plusieurs mois, la première et magnifique affiche est tombée, suivie d’une bande annonce sombre, inquiétante et bien dosée.
Cet opus qu’on attendait pas spécialement, nous redonne la hype nécessaire.
En espérant que Simon Kinberg, scénariste des précédents films, ne se loupe pas.
Sans être le film tant attendu, Dark Phœnix nous redonne espoir, rendez-vous en février prochain.
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