Les bandes-annonces de la semaine : 24/11/2013

Au programme cette semaine : de la tôle froissée, de la romance, du Schwarzenegger, du sexe et de la gravité.

Bande-annonce de Need for Speed de Scott Waughn

Semblant se rapprocher du l’épisode The Run, l’adaptation de la célèbre licence vidéoludique apparaît à travers une plus longue bande-annonce. On y apprend les motivations du personnage principal incarné par la star Aaron Paul (Breaking Bad). Avec son lot d’explosions et de crash, faut-il s’attendre à un Fast and Furious du pauvre ou à un film de bagnoles plus réfléchi ? Réponse le 16 avril 2014.

Bande-annonce de Last Days of Summer de Jason Reitman

Romance tire-larmes en approche ! Jouant sur une version édulcorée du syndrome de Stockholm, Last Days of Summer s’annonce pour l’instant comme un film romantique un peu prévisible sur fond de dilemme menant au drame. Mais on peut espérer que le talent de Jason Reitman (Juno), de Kate Winslet et de Josh Brolin fassent la différence. Sortie le 12 février 2014.

Bande-annonce de Sabotage de David Ayer

On arrête plus le Gouvernator ! Par le scénariste de Training Day et réalisateur de End of Watch, Sabotage suit une équipe des stups dont les membres se font assassiner au fur et à mesure par un grand cartel. Avec une mise en scène toujours réaliste, le film semble ne pas éviter pour autant l’action bien musclée. Pour les fans de Schwarzy et les autres, rendez-vous dans les salles en avril 2014.

Bande-annonce de Nymphomaniac de Lars von Trier

Lars von Trier se permet tout. Servi par son casting impressionnant, Nymphomaniac se présente comme les chroniques d’addicts au sexe, d’où des images trash et érotiques. Lars von Trier se permet tout, si bien que sa bande-annonce a reçu une interdiction aux moins de 18 ans sur Youtube ! Sortie le 1 janvier 2014.

Aningaaq de Jonás Cuarón

Que ceux qui n’ont pas vu Gravity s’abstiennent de voir cette vidéo ! Réalisé par le fils d’Alfonso Cuarón, Aningaaq décrit le contre-champ de la communication entre le docteur Stone et un terrien vers la fin du film. Épuré, simple, magnifique et universel, Aningaaq prouve à quel point Gravity est une grande œuvre.