Après Benjamin Clementine, jaSz est une nouvelle découverte musicale de qualité offerte par le métro parisien et qui devrait conduire les directeurs artistiques des grandes maisons de disques à prendre plus souvent le métro.
jaSz a à peine 25 ans, et écume le métro et les bars parisiens depuis longtemps, rodant son répertoire avec sa guitare, égrenant les reprises d’artistes comme Nina Simone et Madeleine Peyroux, ses deux idoles, ou encore Peggy Lee et Amy Winehouse. jaSz se situe au carrefour du folk, du jazz, et de la soul. Découverte dans le métro, le conte de fée lui a permis de trouver un label de qualité au sein de Junzi Arts, et de gagner le prix Europe 1 – 20 Minutes.
Je ne voyais pas comment présenter ma musique autrement qu’en l’enregistrant dans un lieu de vie. Mes chansons sont nées dans le métro, dans les bars, dans la rue… Les enregistrer sans l’ambiance sonore dans laquelle elles baignent me paraissait impossible. En jouant sur l’espace public, en dehors de la convention du spectacle, on s’expose directement au monde. C’est une expérience artistique et personnelle fabuleuse, que je souhaite partager avec ce passage musical dans le métro parisien.
– jaSz
Un premier album qui s’intitule « Métro »… tout simplement !
Son premier disque s’intitule Métro, et il y a été enregistré. A son écoute, on perçoit les bruits ambiants du métro parisien, et la voix sublime de jaSz qui offre cinq titres très personnels comme Love Song et Drink my Money, deux ballades immémoriales qui auraient pu être chantées par Bob Dylan il y a trente ans, et deux titres en français (Encore un effort, et Dans mon Ballon), qui montrent que le talent de jaSz est sans frontière. N’ayant pas totalement déserté le métro, on peut retrouver aussi jaSz dans le circuit des clubs de jazz comme le Sunset où l’intensité de ses prestations lui fait gagner un public érudit et communicatif. Guettez jaSz, découvrez-là, vous ne serez pas déçus !
Clip de « Love Song »
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